2. Panorama néotestamentaire du miracle

Cet article s'insère dans la cadre de la série "Signes, prodiges et miracles dans le Nouveau Testament"

Après avoir introduit le sujet (voir ici) et proposé une définition du « miracle » selon le Nouveau Testament (voir ici), cette deuxième partie propose de parcourir les textes du Nouveau Testament en rapport aux « miracles, signes et prodiges ».

Lorsque l’on regarde la place du miracle dans le Nouveau Testament, un constat s’impose : les Évangiles donnent une très large place au miraculeux. On trouve également divers récits de miracles dans les Actes. Toutefois, dans le reste du Nouveau Testament, la question des miracles est quasiment absente. Certes, les miracles, signes et prodiges sont mentionnés quelques fois dans les lettres de Paul et dans l’épître aux Hébreux, ou dans l’Apocalypse. Mais c’est toujours de manière très courte, en passant. Aucune péricope des lettres du Nouveau Testament n’est consacrée à la question des miracles.

Les miracles dans les Évangiles

Lorsque l’on évoque les miracles dans le Nouveau Testament, on pense tout de suite aux miracles de Jésus. En effet, la plupart des miracles dont nous parle le Nouveau Testament ont été accomplis par Jésus.

Jésus comme faiseur de miracles : un fait historique

C’est un point que même les historiens les plus sceptiques affirment : Jésus était connu par ses contemporains comme un faiseur de miracles. Aucune source antique ne conteste ce fait. L’historien juif Flavius Josèphe parle de Jésus comme d’un « faiseur d’œuvres prodigieuses (παραδόξων ἔργων ποιητής) » (Antiquités Juives 18.63). Les traditions juives anciennes que l’on trouve notamment dans le Talmud présentent Jésus comme un magicien qui aurait obtenu ses pouvoirs d’une manière frauduleuse et qui les utilisait pour conduire le peuple à l’idolâtrie (voir, par exemple b. Sanhédrin 43a ; 107b ; b. Sota 47a ; b. Shabbat 104b). Si ces textes juifs polémiques présentent Jésus comme un faux prophète, ils ne contestent pas sa capacité à accomplir des miracles. De son vivant ici-bas, Jésus était connu pour ses miracles.

La place des récits miracles dans les évangiles

Les évangiles que l’on trouve dans notre Bible sont généralement divisés en 2 grandes parties : le récit du ministère de Jésus et le récit de la semaine sainte. Au sein de la première partie qui rapporte le ministère de Jésus, on trouve deux principaux types de matériau : des discours ou paroles de Jésus et des récits de miracles accomplis par Jésus. En fait, si vous enleviez les récits de miracle de la première partie des évangiles, il ne resterait pratiquement que des discours de Jésus. Ainsi, le ministère de Jésus peut être résumé à ces deux points principaux : un ministère de prédication accompagné de signes, prodiges et miracles. Lorsque les disciples de Jean-Baptiste viennent trouver Jésus, c’est de cette manière que Jésus lui-même résume son ministère : « les aveugles recouvrent la vue, les paralytiques marchent, les lépreux sont purifiés, les sourds entendent, les morts ressuscitent et la bonne nouvelle est annoncée aux pauvres » (Mt 11.5 = Lc 7.22).

Ce constat est commun aux quatre évangiles. Toutefois, si le Nouveau Testament contient quatre évangiles, ce n’est pas pour nous raconter quatre fois la même chose. Pour rédiger son évangile, chaque évangéliste a sélectionné certains éléments de la vie de Jésus et les a présentés d’une manière à mettre en lumière certains aspects importants de l’identité de Jésus. Il en est de même pour les récits de miracles. Si les quatre évangiles donnent une large place aux miracles dans le récit du ministère de Jésus, l’accent n’est pas le même selon l’évangile[1].

Matthieu

Dans l’Évangile de Matthieu, la prédication de Jésus est première par rapport aux miracles. Les miracles viennent illustrer les discours de Jésus.

Ainsi, par exemple, aux chapitres 5 à 7, le sermon sur la montagne constitue le premier grand discours de Jésus. Ce discours se termine sur l’affirmation que Jésus enseignait non pas comme un scribe mais comme quelqu’un « qui a autorité (ἐξουσία / exousia) » (Mt 7.29). Puis s’en suivent, aux chapitres 8 et 9 le récit de toute une série de miracles accomplis par Jésus qui ont pour but de souligner cette autorité de Jésus sur les démons, la maladie et même le péché (cf. Mt 9.6, 8). Les miracles viennent confirmer le message de Jésus.

Marc

Dans l’Évangile de Marc, l’ordre est différent : la priorité est d’abord donnée au miracle. Un des aspects particuliers de l’Évangile de Marc est de pousser le lecteur à réfléchir sur l’identité de Jésus. L’Évangile peut se lire un peu comme une enquête policière qui invite à se poser la question : « mais qui est donc ce Jésus ? ». Ainsi, l’Évangile de Marc laisse planer un certain mystère. Jésus est comme un agent secret qui invite certains à garder le silence au sujet de sa véritable identité.

Au sein de cette enquête autour de l’identité de Jésus, il n’est pas anodin que Jésus soit présenté d’abord comme un faiseur de miracles. En effet, comme je l’ai indiqué plus haut, lorsque Marc rédige son Évangile, Jésus est avant tout connu par les non-chrétiens comme un guérisseur ou faiseur de miracles. C’est à cause de cela que les foules viennent consulter Jésus jusque tard dans la nuit, comme le souligne déjà le chapitre 1 (Mc 1.32-34). Mais ce que souligne aussi l’Évangile de Marc, c’est que ce pouvoir de Jésus interroge les foules : « qu’est-ce que cela ? d’où lui vient une telle autorité » (cf. Mc 1.27), « qui est cet homme ? » (cf. Mc 2.7). Cette présentation du ministère de Jésus invite ainsi le lecteur à s’interroger : « Jésus n’est-il pas plus qu’un faiseur de miracles ? ». « N’est-il pas le fils de Dieu » comme le déclarent les démons ? (Mc 3.11 ; 5.7 ; cf. 1.24).

Luc

Dans l’Évangile de Luc, le miracle ne précède pas le message comme chez Marc, il ne le suit pas non plus comme chez Matthieu. Chez Luc, les miracles accompagnent le message. Le ministère de Jésus est un ministère en parole et en actes.

Cet aspect est mis en avant par le discours inaugural de Jésus que l’on trouve en Luc 4. Dans ce discours dans la synagogue de Nazareth, Jésus lit Ésaïe 61 : « L’Esprit du Seigneur est sur moi car il m’a oint pour annoncer une bonne nouvelle aux pauvres, il m’a envoyé pour proclamer aux captifs la libération, aux aveugles le recouvrement de la vue… » (Lc 4.18). Et Jésus conclut sa lecture en déclarant : « aujourd’hui cette écriture est accomplie » (Lc 4.21). Ainsi, l’œuvre de Luc met l’accent sur le fait que Jésus est l’oint prophétique dans la lignée de Moïse, Élie ou Élisée. Comme chez ces illustres prophètes, la prédication de Jésus s’accompagne de signes et prodiges.

Ces signes et prodiges viennent attester la vocation particulière de Jésus et l’origine divine de son message.

Jean

L’Évangile de Jean est celui qui rapporte le plus petit nombre de miracles de Jésus. Toutefois, si Jean ne présente que quelques miracles de Jésus (Jn 2.1–12 ; 4.46–54 ; 5.1–18 ; 6.1–15, 16–21; 9.1–7; 11.1–57; 21.4–14), il leur accorde une place fondamentale dans la première partie de l’Évangile. Ainsi, les chapitres 2 à 11 de l’Évangile sont construits autour de 7 récits de miracles bien choisis. Jean commence par rapporter un miracle, puis il nous présente les réactions que suscitent ce miracle.

Il faut noter aussi une différence dans le langage. Alors que dans les trois autres évangiles, c’est surtout le mot δύναμις / dunamis (acte de puissance) qui sert à désigner les miracles, chez Jean, les miracles sont toujours désignés par le mot « signe (σημεῖον / sèméion) ». Ce choix de langage n’est pas du tout anodin.

Les 7 « signes » que Jean rapporte aux chapitres 2 à 11 sont là pour révéler l’identité de Jésus. Et en découvrant cette identité, le lecteur est invité à croire en Jésus. C’est ce que Jean déclare à la fin de son Évangile : « Jésus a réalisé de nombreux autres signes devant les disciples, qui ne sont pas écrits dans ce livre. Ceux-ci ont été écrit afin que vous croyiez que Jésus est le Christ, le fils de Dieu, et que, en croyant, vous ayez la vie en son nom » (Jn 20.30-31).

Ainsi, les miracles ne sont pas une fin en soi, mais un moyen de « signaler » l’identité de Jésus, Fils de Dieu. L’objectif étant de susciter la foi en celui qui seul peut nous procurer la vie, la vraie, la vie éternelle.

Les miracles dans les Actes

Le livre des Actes constitue la deuxième partie de l’œuvre de Luc : il est donc intéressant de le lire dans le prolongement de l’Évangile de Luc. En effet, dans sa manière de décrire les débuts de l’Église, Luc montre comment le ministère des premiers chrétiens fait écho au ministère de Jésus. Ainsi, si l’Évangile de Luc présente le ministère de Jésus comme un ministère en paroles et en actes, il en est de même pour le ministère des apôtres.

Les miracles et la venue du Saint-Esprit

La manière dont débute le livre des Actes est significative à ce sujet. Dans l’Évangile de Luc, le ministère de Jésus est inauguré par la venue de l’Esprit lors de son baptême. Cette venue de l’Esprit est ensuite expliquée grâce à la citation d’Ésaïe 61 dont Jésus dit « aujourd’hui cela s’est accompli ».  Le livre des Actes commence d’une manière similaire.

En Actes 2, le Saint-Esprit vient sur les disciples lors de la Pentecôte. Puis Pierre prend la parole en expliquant que ce qui se passe ici est la réalisation de la promesse de Joël 3. On retient généralement la première partie de cette citation concernant la généralisation de la prophétie : « dans les derniers temps, dit Dieu, je répandrai de mon Esprit sur toute chair, vos fils et vos filles prophétiseront, vos jeunes gens verront des visions et vos vieillards rêveront des rêves… » (Ac 2.17). Ce qui est intéressant, c’est que Pierre continue la citation et mentionne les « prodiges et signes » qui accompagnent cette venue de l’Esprit selon le texte de Joël (Ac 2.19). Et, juste après avoir fini de citer ce texte, Pierre fait le lien entre les « prodiges » annoncés par Joël et le ministère de Jésus : « Jésus le Nazaréen » est présenté comme « un homme accrédité par Dieu à travers les miracles, les prodiges et les signes que Dieu a accomplis par lui au milieu de vous » (Ac 2.22). Enfin, le chapitre 2 des Actes se termine par ce sommaire bien connu : « Ils étaient assidus à l’enseignement des apôtres, à la communion fraternelle, au partage du pain et aux prières. 43La crainte s’emparait de chacun, et beaucoup de prodiges et de signes se produisaient par l’entremise des apôtres. » (Ac 2.42-43).

Le livre des Actes montre clairement que l’Esprit qui était sur Jésus a maintenant été déversé sur les disciples de Jésus. Comme l’avait annoncé Jésus avant son ascension, en Actes 1.8, cet Esprit est une « puissance (δύναμις / dunamis) » pour le témoignage. Cette « puissance » se manifeste à travers des paroles inspirées accompagnées d’« actes de puissance », des miracles.

Des disciples à la suite de leur maître

Cette association entre une prédication inspirée et les miracles est exprimée par exemple en Actes 4. Le Sanhédrin a interdit aux disciples de continuer à prêcher l’Évangile (Ac 4.18). Ceux-ci se réunissent alors pour prier et que demandent-ils à Dieu ? « Donne à tes serviteurs de dire ta parole avec une totale franchise. Étends ta main, qu’il se produise des guérisons, des signes et des prodiges par le nom de ton saint serviteur Jésus ». (Ac 4.29-30). Une fois cette prière terminée, le texte nous dit qu’ils « furent tous remplis du Saint-Esprit » et qu’ils « disaient la parole de Dieu avec franchise » (Ac 4.31).

Ainsi, les disciples du Christ sont situés dans la lignée de leur maître : ils prêchent la bonne nouvelle de l’Évangile et leur prédication est accompagnée de signes et prodiges. Cette continuité est soulignée également par les textes d’envoi dans les Évangiles. Lorsque Jésus envoie ses disciples en mission, il leur ordonne d’aller proclamer la venue du Royaume de Dieu et de guérir les malades et de chasser les démons (Mt 10.1-14 ; Mc 6.7-13 ; Lc 9.1-6). Cela vaut pour les douze, mais aussi pour les soixante-douze dont Luc 10 nous rapporte l’envoi en mission (cf. Lc 10.8-9, 17-20).

Certains ajoutent les derniers versets de l’Évangile de Marc qui mentionnent les « signes qui accompagneront ceux qui auront cru » (Mc 16.17-18). Néanmoins, ce passage est absent des manuscrits les plus anciens. Au vu de nos connaissances actuelles, il parait très probable que l’envoi situé à la fin de Marc ne figurait pas dans le texte original de l’Évangile. Ce récit a probablement été ajouté plus tard. Comme ce qui fait autorité pour nous, c’est le texte original de la Bible, on ne peut donc pas se fonder sur ce passage.

Quoi qu’il en soit, même si l’on ne retient pas ce passage de Marc, cela ne change rien à notre constat : les Évangiles et les Actes présentent clairement les disciples dans la continuité de Jésus. Leur prédication s’accompagne de miracles, signes et prodiges. Il y a toutefois une différence : les miracles de Jésus sont accomplis en son nom propre et attirent l’attention sur sa propre personne ; les miracles des disciples sont accomplis non pas en leur nom propre, mais au nom de Jésus et sont là pour attirer l’attention vers Dieu.

Ainsi, lorsque Simon le magicien souhaite acheter le « pouvoir » des disciples, Pierre le reprend sévèrement (Ac 8.18-24). De même, lorsqu’à Lystres, les miracles accomplis par Paul et Barnabas poussent les gens à les adorer comme des dieux, ils réagissent vivement en invitant à tourner les regards vers le seul vrai Dieu plutôt que vers eux (Ac 14.8-18).

Les miracles dans les épîtres

Comme je l’ai indiqué plus haut, les lettres du Nouveau Testament parlent très peu de la question des miracles.

Les épîtres de Paul

Dans trois passages, l’apôtre Paul fait allusion aux miracles qui ont accompagné sa prédication. Ainsi, par exemple, en Romains 15, il déclare : « Car je n’oserais rien mentionner que le Christ n’ait accompli par moi pour amener les non-Juifs à l’obéissance : en parole et en œuvre, par la puissance de signes et de prodiges, par la puissance de l’Esprit de Dieu. Ainsi, depuis Jérusalem et en rayonnant jusqu’en Illyrie, j’ai annoncé partout la bonne nouvelle du Christ. » (Rm 15.18-19 NBS ; voir aussi 2 Co 12.12 ; Ga 3.5).

Il convient aussi de mentionner 1 Corinthiens 12, où Paul évoque les « miracles » et la guérison parmi les manifestations du Saint-Esprit qui sont données par Dieu aux « uns » et aux « autres » (1 Co 12.10, 28-29). Ce texte montre que, pour Paul, les miracles font partie de la vie ordinaire de l’Église.

Enfin, 2 Thessaloniciens 2.9 évoque les « faux signes et prodiges » d’origine satanique qui seront accomplis par « l’Impie ».

Hébreux 2.4

Dans les autres lettres du Nouveau Testament, la seule mention de miracles se trouve en Hébreux 2.4. Le verset précédent indique que le message du salut a été attesté par Christ puis par ceux qui l’ont connu lors de son ministère terrestre (Hb 2.3). Le verset 4 indique que Dieu « appuie ce témoignage [ou sur-atteste] par les signes, les prodiges, par divers miracles et par la répartition du Saint-Esprit selon ce que Dieu veut » (Hb 2.4).

En grec, le verbe que j’ai traduit par « appuyer le témoignage » est un participe présent. Les interprètes discutent pour savoir si le texte se réfère aux miracles accomplis par les apôtres du passé, ou s’il se réfère aux miracles qui se produisent encore à l’époque où a été écrite l’épître aux Hébreux.

Quoi qu’il en soit, on notera quelques éléments intéressants :

  • Les miracles sont encore associés au don du Saint-Esprit, comme dans les Actes et comme chez Paul.
  • De plus, ils ont pour but d’attester le message du salut en Jésus-Christ.
  • Enfin, ils sont accomplis « selon ce que Dieu veut » et non selon le bon vouloir des êtres humains.

Les signes et prodiges dans l’Apocalypse

Il convient de dire quelques mots des « signes et prodiges » mentionnés par l’Apocalypse. Les chapitres 11 à 20 racontent l’opposition entre deux peuples : le peuple de Dieu, placé sous le règne de l’agneau et le peuple de Satan, placé sous le règne de la bête. Au sein de ces deux peuples, on trouve des prophètes. D’un côté, le chapitre 11 nous présente les témoins-prophètes du Christ. Ces deux prophètes qui, selon l’avis des meilleurs commentateurs, représentent le témoignage de l’Église, sont présentés comme ayant des « pouvoirs » : comme Moïse, ils peuvent changer l’eau en sang et envoyer des « plaies » sur la terre ; comme Élie, ils peuvent fermer le ciel pour qu’il ne pleuve plus. Comme souvent dans l’Apocalypse, il ne faut pas prendre ces éléments au sens propre : l’idée est de souligner que le témoignage prophétique de l’Église, accompagné de signes prodigieux, se situe dans la lignée des prophètes du passé. Néanmoins, il est intéressant de voir que les miracles ici sont des miracles qui signalent le jugement de Dieu.

L’autre camp a aussi son prophète ou plutôt son « faux prophète ». Ce faux prophète est présenté comme produisant des « signes » miraculeux afin de séduire les habitants de la terre et de les pousser à adorer la bête satanique (Ap 13.13-14 ; 16.14 ; 19.20).

Ainsi, comme le soulignent bien d’autres passages du Nouveau Testament, les démons aussi sont capables de faire des choses extraordinaires. Jésus met ainsi en garde contre ceux qui pourraient accomplir de nombreux miracles en son nom mais qu’il ne connait pas (Mt 7.22-23).

Comment donc discerner les vrais et faux miracles ? De tous ces textes ressort un critère assez clair : les vrais miracles orientent les regards vers le seul vrai Dieu, manifesté en Jésus-Christ ; les faux miracles conduisent à l’idolâtrie, c’est-à-dire vers tout ce qui pourrait prendre la place du seul vrai Dieu.

[1] Sur ce point, je me suis surtout inspiré de Graham H. Twelftree, « Miracles and Miracle Stories », in Joel B. Green et al. (dirs.), Dictionary of Jesus and the Gospels, Downers Grove, IVP, 2013 (2e éd. rév., 1ère éd. : 1992), p. 594‑604.

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4 Responses

  1. Jean François Massalia Gil

    Merci pour la série  » Signes, prodiges et miracles dans le Nouveau Testament  » très bien documenté, clair, sérieux, très édifiant, interpellant (et surtout toujours d’actualité…) amenant une connaissance loin des clichés et des interprétations farfelues . Étude précise, plein de bons sens et sans fioriture.
    À lire et à relire … et à mettre en pratique 🙂
    Soyez Béni Timothée

    • Timothée Minard

      Merci beaucoup pour les encouragements. Il reste encore les 2 dernières parties de cette série qui vont être publiées au fur et à mesure ces prochains jours.
      Soyez béni !

  2. Augustin

    Merci beaucoup !
    Juste, dans ce passage :
    Enfin, 2 Thessaloniciens 3.17 évoque les « faux signes et prodiges » d’origine satanique qui seront accomplis par « l’Impie ».
    Il me semble que vous parlez de 2 Thessaloniciens 2:9 😉
    Sinon, tout cela est très complet,
    Que Dieu vous bénisse

    • Timothée Minard

      Merci beaucoup de m’avoir signalé cette erreur de référence. Je viens de corriger.
      Que Dieu vous bénisse également !